d'Amélie CABOCEL
2019 - 93 min - HD
[il existe également une version 52min intitulée "Michelle et les siens, une photographie"]
Coproduction Ana Films, Vià Vosges, RTGE et Mosaïk.
Avec la participation du CNC, de la Région Grand Est, de l'Eurométropole de Strasbourg et de la Procirep-Angoa.
Equipe technique
Image : Gautier Gumpper
Images additionnelles : Amélie Cabocel
Son : Grégory Pernet, Nicolas Rhode, Vivien Roche, Martin Sadoux, Jérémy Vernerey
Montage : Gautier Gumpper
Montage son : Martin Sadoux
Mixage : Régis Diebold
Musique originale : Pascal Doumange
Synopsis :
Les Blanches Terres est un lieu-dit déserté de Lorraine dont le charme échappe à celui ou celle qui ne fait que passer. Michelle, la grand-mère de la réalisatrice, y vit depuis toujours, comme « enracinée ». Veuve depuis vingt ans, elle combat l’isolement par des rapports quasi quotidiens avec ses cousin·e·s, ami·e·s et rares voisin·e·s.
La réalisatrice, qui est également photographe, propose à Michelle et « aux cousin·e·s » d’être au cœur de son nouveau travail photographique. Quelle image laisser de soi à plus de 80 ans ? Que peut-on garder comme trace de ce qui s’efface ? À travers leur portrait, le film raconte un monde devenu presque invisible à nos yeux.
Prix et Sélections :
Prix du Jury - Festival du Film de Famille - Saint-Ouen, France - novembre 2021
Prix du Jury et Prix du Public - Festival Aux Écrans du Réel - Le Mans, France - novembre 2021
Family Film Project - Porto, Portugal - octobre 2021
Festival du Film de l'Est - Strasbourg, France - octobre 2021
Tempo Documentary Festival - Stockholm, Suède -mars 2021
DOK Leipzig - Leipzig, Allemagne - octobre 2020
Sa spécialisation en photographie et en sciences humaines et sociales a amené Amélie Cabocel à développer une démarche artistique associant ces deux axes.
Cinéma documentaire, vidéo, son et photographie lui permettent d’explorer des questions liées au corps et au corps social. Ses travaux se déploient autour d’une dialectique du visible et de l’invisible dans l’image et, plus largement, à l’échelle de la société.
Son travail a été publié à plusieurs reprises et a été diffusé au sein de festivals (Les Instants vidéo, Marseille, 2010) et de diverses expositions (Maison de la photographie Robert Doisneau, Gentilly, 2016 ; Synesthésie, Mois de la Photo du Grand Paris, Saint-Denis, 2017 ; Nuit Blanche, Paris, 2018)